Située à Montpellier, le Centre de recherche agronomique pour le développement a publié, lundi 16 septembre 2013, une étude prouvant les biens faits du jus de mûre andine et de l’hibiscus.
Boire des jus de fruits frais
L’étude explique que la mûre andine, venue d’Equateur, Colombie et du Costa Rica, contient des antioxydants et des polyphénols très bons pour la santé. Les recherches ont tenu compte également de la provenance des mûres andines. Différents procédés de transformations ont également été observés au Costa Rica et à Montpellier. Des volontaires sains ont participé aussi aux recherches pour voir les biens faits.
L’étude porte principalement sur leurs effets sur les syndromes métaboliques et des maladies cardiovasculaires. Les « ellagitannins (que l'on trouve dans les vins vieillis en fût de chêne) métabolisés par la flore intestinale puis absorbés sous forme de molécules plus actives (les urolithines) qui peuvent persister dans l'organisme plusieurs jours après l'ingestion » sont à l’origine de ces biens faits. Comme la mûre andine, le jus d’hibiscus, boisson très connue en Afrique, est rempli d’antioxydants.