C'est une bonne nouvelle pour tous les joueurs français et du reste du monde. Une étude aurait démontré que jouer aux jeux vidéo serait bénéfique pour le cerveau des joueurs. Mais attention à ne pas tomber dans l'abus.
Développer son cerveau avec les jeu vidéo
Pratiquer régulièrement les jeux vidéo aurait un effet bénéfique sur certaines parties du cerveau qui se développerait plus vite et mieux. En particulier, les zones qui gèrent le mouvement dans l'espace, la mobilité de certains muscles ou le calcul lié à la stratégie et la planification.
C'est une étude de l'institut Max Planck qui aurait démontré cela en comparant, via un IRM, l'activité cérébrale d'un groupe de personnes divisé en joueurs et non joueurs. Les joueurs ont joué durant deux mois à Mario 64 et les autres n'ont fait que regarder. Après l'étude de l'activité cérébrale, il est apparu que des zones du cerveau étaient plus développées chez les joueurs.
Grâce à ce résultat, les chercheurs de l'institut Max Planck espère découvrir de nouvelles thérapies pour les maladies liées à la dégénérescence du cerveau comme Parkinson et Alzheimer.
Néanmoins, comme toute chose, si jouer aux jeux vidéo peut être bénéfique pour le cerveau, une sur consommation peut entraîner une dépendance avec les risques bien connus comme se retrouver couper de la réalité et détruire sa vie sociale.
Une bonne nouvelle qui tranche avec certaines études comme quoi les jeux vidéos rendraient violent, insomniaque, sujet à des troubles de la concentration. Ca fait 30 ans que je joue occasionnellement à des jeux vidéos, et j”y trouve plein de bénéfices dans la vie de tous les jours. Par exemple j”ai de très bons réflexes sur la route grâce aux jeux de tir. Pas plus tard qu”hier j”ai évité un carambolage de justesse suite à un fort ralentissement, en pilant, en mettant les warning puis en me décalant pour éviter celui qui m”aurait rentré dedans sinon (le tout en moins de 2 secondes). Mon fils aime jouer aussi, et du coup il est super à l”aise en math et en technologies. Mais comme vous dites, le problème se trouve toujours dans l”excès.